Le 30 novembre, les Campésiens sont invités à voter pour ou contre l’installation de la vidéoprotection. Ce dispositif, déjà prouvé efficace dans les villes voisines, permet des interventions plus rapides, améliore le taux de résolution des crimes et renforce la tranquillité dans les espaces publics, sans mettre en péril les finances ni entraîner d'augmentation des impôts fonciers. Pourtant, Mme le Maire et sa majorité s’y opposent fermement.

Pour justifier cette opposition, ils ont créé un “collectif” et diffusé une brochure de six pages affirmant que la vidéoprotection serait un “gouffre financier” et un “recul des libertés publiques”. Ces arguments sont infondés et visent à induire en erreur. En réalité, le coût net pour la ville, après des subventions couvrant la majorité des frais, est loin d’être excessif et reste dans nos moyens. Quant aux libertés publiques, rappelons que la vidéoprotection respecte strictement les règles de protection des données et qu’elle est uniquement déployée dans les espaces publics à des fins de sécurité.

Plus grave encore, la majorité laisse sous-entendre que si les Campésiens votent pour, une hausse des impôts fonciers suivra. Ce chantage implicite est inacceptable, car, comme je l’ai déjà démontré, une telle augmentation n’est pas justifiée et sert seulement à dissuader les Campésiens de voter pour.

J’appelle chaque Campésien à voter pour la vidéoprotection le 30 novembre. Ne laissons pas la désinformation et les menaces freiner notre capacité à renforcer la sécurité de notre ville et à protéger nos proches !

Michel COLAS et toute son équipe.
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